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SECTEUR DE L’AGRICULTURE

Le Burundi jouit d’un climat très favorable à l’agriculture. Malgré les irrégularités saisonnières observées ces dernières années le Burundi compte encore près de 8 à 9 mois de pluies. En plus de cette pluviométrie, le Burundi est hôte de plusieurs cours d’eau favorables à l’irrigation.  Le café et le thé sont deux cultures principales de rente. Ces cultures traditionnelles ont contribué en 2020 à hauteur de 32 % des recettes totales d’exportation. Quoique l’économie burundaise reste peu diversifiée, le pays regorge de potentialités d’exportation de nouveaux produits agricoles. Les filières les plus porteuses sont notamment : les produits horticoles (fruits, légumes et fleurs), le coton, le sucre, les champignons, le maïs, le riz, le manioc, le sorgho, etc. Le secteur de l’agriculture est encore sous exploité. Les opportunités d’investissement dans ce secteur se font sentir dans le besoin de modernisation des pratiques agricoles, le besoin d’une agriculture tournée au marché, la pratique de l’irrigation, les projets à grande échelle, les chaînes de valeur et la valorisation des produits locaux. Le Burundi affiche une forte pression démographique mais reste un atout non négligeable pour des investissements agricoles car elle procure une main d’œuvre beau marché.

Opportunités d’investissement dans le secteur de l’agriculture

Horticulture : L’horticulture est devenue un des domaines pouvant permettre la diversification de l’agriculture burundaise.  En effet, elle renferme un large éventail de cultures incluant les fruits, les légumes, les champignons, les plantes à tubercules, les plantes ornementales, les fleurs. Le Burundi dispose des atouts pour le développement de cette filière de part sa pluviométrie et sa qualité du sol.   A Bugarama en Commune Muramvya, Rumonge ou Cibitoke, le visiteur est surpris d’acheter une gamme variée de fruits et légumes très bon marché et tout le long de l’année. Il s’agit là des signes éloquents des potentialités énormes qu’offrent ces régions aux investisseurs intéressés par la création de vastes plantations de production des fruits et légumes. Inutile d’ajouter que les investisseurs sont attendus également au tournant du marché de construction et d’exploitation des unités de conservation ou de transformation de ces productions à savoir : les tomates, les ananas, les mangues, les avocats. Lire la Suite

Café : Le café burundais joue un rôle majeur dans l’économie du pays, contribuant de manière significative aux recettes en devises et à la monétisation de l’économie rurale c’est ainsi qu’il est appelé de l’or noir. Le Burundi a deux types de café qui sont le café arabica et le café robusta. L’expérience de la promotion des cafés dits de spécialités s’annonce très prometteuse : En 2014, un café en provenance de la province de Kayanza, région de la culture intensive du café au Burundi, s’est déjà distingué au niveau mondial. Le kilo de ce café a été vendu à 130 USD. En octobre 2017, lors de la vente aux enchères du café à Boston aux Etats-Unis, le café burundais a battu le record mondial pour sa qualité. Le café de la station de lavage de Kibingo en commune et province de Kayanza a été acheté à 115 USD le kilo. Il est bel et bien le meilleur café du monde en ce qui concerne sa qualité. Le Burundi peut donc miser sur la qualité hors du commun de son café pour promouvoir un café de spécialité et arriver à concurrencer les grands producteurs de ce monde. Le café contribue à hauteur de 21,8 % des recettes d’exportation en 2020, ce qui le place à la 2ème position après l’or.

Avec le réengagement de l’Etat dans la filière café, l’Office de Développement du Café (ODECA) a été créé en remplacement de l’ARFIC en vue de s’impliquer dans tous les maillons de cette filière depuis les verges jusqu’au niveau de la transformation et commercialisation pour contribuer dans l’encadrement et l’augmentation de la production du café. Mais également, l’ODECA intervient au niveau de la régulation et la coordination de ce secteur pour assurer un bon rapatriement des devises qui proviennent dans cette filière car considérée depuis longtemps comme la principale culture d’exportation au Burundi.   Le pays a besoin des investisseurs dans ce secteur qui interviennent au niveau de la production notamment par l’augmentation des plantations pour avoir de la matière première (café cerise) qui pourra être transformé.

Le thé: le thé du Burundi a reçu sa certification en 2016. La culture du thé au Burundi permet à 3 % de la population d’avoir un revenu stable et régulier.  La production du thé est passée de 8 mille 648 tonnes en 2012 à 10 mille tonnes en 2013, puis 11021 en 2014, 11145 en 2015 et 10873 en 2016. En effet, la récolte se fait tout au long de l’année à raison de 3 fois par mois. Et malgré des épisodes de sécheresse plus longs que d’ordinaire, la production ne cesse d’augmenter, entraînant de ce fait une hausse de l’exportation du produit.  Ces derniers temps, le Burundi produit du thé de très bonne qualité et en augmentation de quantité. Le thé contribue à hauteur de 10,6 % des recettes d’exportation en 2020, ce qui le place à la 3ème position après l’or et le café

La bonne qualité du thé produit au Burundi est conséquente à son climat et à sa pluviométrie qu’on observe dans divers coins du pays. Cependant, des grandes étendues de terres ne sont pas encore exploitées à leur totalité malgré qu’il y a des investisseurs privés (PROTHEM, LOVIMAX, ITEKA) qui commencent à s’intéresser à ce secteur à côté de l’Office du Thé du Burundi.  Les régions qui sont réputées, les plus attractives pour cette culture sont Bujumbura (Mugongomanga), Mwaro, Bururi (Matana et Mugamba), Muramvya(Muramvya, Bukeye), Kayanza( Muruta), Cibitoke( Bukinyana).

Palmier à huile: La culture du Palmier à huile est essentiellement pratiquée au niveau de la région de l’Imbo et très récemment dans la région de Kumoso .  Deux variétés de palmier à huile sont cultivées : Dura et Tenera. Le palmier à huile constitue un élément moteur de développement non seulement pour les ménages, mais aussi pour le pays. Il crée de l’emploi depuis l’importation de sa semence, la préparation des pépinières, la plantation, le labeur, la cueillette des noix de palme, le triage et la transformation. Il génère des revenus pour les ménages lors de sa commercialisation et des devises pour le pays lors de son exportation.

Le Burundi table sur une augmentation substantielle de la production dans les années à venir.  Le Gouvernement exhorte les investisseurs à créer des palmeraies dans la plaine du Mosso qui n’est pas encore totalement exploité car il existe d’autres étendues de terres cultivables. Il ne s’agit pas de produire pour satisfaire le marché national mais l’ambition va bien loin : produire assez pour imiter l’exemple de la Malaisie avec objectif de créer des raffineries et de faire entrer le Burundi le cas échéant, dans le club des pays producteurs des biocarburants.

Canne à sucre : Dans la plaine du Moso a prospéré la société SOSUMO (Société Sucrière du Moso). Pour le moment la SOSUMO produit un sucre de cannes de très bonne qualité et très appréciée par les restaurateurs et les pâtissiers de la sous-région.La SOSUMO ne produit que vingt mille tonnes de sucre en poudre par an. Et pourtant, les espaces disponibles au Burundi permettent à la SOSUMO d’atteindre une production annuelle de 40.000 tonnes ! Les employés de la SOSUMO ont réalisé une bonne campagne de récolte de la canne à sucre en 2015. Au Burundi, sur base d’une production moyenne annuelle estimée à 20000 tonnes dont 5 000 tonnes sont exportées, la filière sucre permet une économie de devises de l’ordre de 22,5 Millions USD et une participation au Produit intérieur brut (PIB) de 3,0%. C’est pourquoi le Gouvernement a décidé d’ouvrir le capital de la SOSUMO aux investisseurs étrangers. De plus, c’est la seule société investissant dans ce secteur, les investisseurs étrangers peuvent donc participer au capital social de cette société et de plus d’autres investisseurs peuvent également s’intéresser à ce secteur qui est encore occupé par un seul investisseur pour satisfaire non seulement la demande locale en sucre mais aussi parvenir à exporter l’excédent pour faire entrer des devises dans le pays.

La pêche : La pêche au Burundi est pratiquée dans le Lac Tanganyika et dans les Lacs du Nord du Burundi (Lac Cohoha,Lac Kanzigiri).  C’est une activité très importante pour le peuple Burundais. La pêche est semi-artisanale ou semi-industrielle. En amont de la redynamisation du secteur de la pêche, le Gouvernement a identifié l’impératif de protéger les eaux du lac contre la pollution. Cependant l’investissement dans ce secteur n’est pas totalement exploité car on constate que la pêche pratiquée est en grande partie artisanale.  De plus, d’autres investisseurs ont déjà également pris des initiatives dans l’aménagement des étangs piscicoles mais reste encore très limités au vue de la population burundaise qui cherche à se procurer toujours des produits de la pêche. Le développement de la pisciculture sera facilité dans la mesure où il existe encore d’innombrables sites qui se prêteraient facilement à cette activité.

Le poisson du lac est vendu sur les marchés ruraux à l’état frais, séché ou fumé. Le poisson est souvent transformé par séchage, fumage avant d’être mis sur les circuits de commercialisation. Comme la production nationale ne suffit pas à satisfaire les consommateurs, une importante quantité de poisson est importée surtout d’Ouganda.

Opportunités d’investissement dans la pêche :

  • Mise en place des équipements de pêche industrielle dans les eaux profonde pour augmenter la production des poissons au niveau du Lac Tanganyika
  • Investissement dans les chaînes du froid pour faciliter la conservation, le transport, l’approvisionnement tant à l’intérieur du pays et qu’à l’exportation
  • Investissement dans l’aquaculture pour augmenter la production des poissons et d’autres espèces halieutiques dont l’homme a besoin 

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